Rob Harrison a été nommé responsable régional du développement commercial et de la stratégie chez PSA EuroMed & Americas (EMA). Il travaillera à partir d’Anvers. Auparavant, il était vice-président de DP World Inland and Logistics pour la région Europe et Russie.
L’Intermodal Marketplace de l’Autorité Portuaire d’Anvers a connu une belle affluence de visiteurs et d’exposants. Cependant, le débat entre quatre acteurs majeurs de la chaîne trahit les fortes tensions de l’ère post-covido.
L’opérateur de terminaux Antwerp Gateway a conclu un accord de refinancement à long terme de 258 millions d’euros. Il utilisera cette somme pour augmenter la capacité du terminal à Deurganckdok et poursuivre l’automatisation des opérations.
L’interview d’adieu de Rob Harrison, PDG de DP World Antwerp, a déclenché des tensions chez de nombreux transporteurs de conteneurs. Ils n’acceptent pas qu’il les rende responsables des problèmes survenus au Kaai 1700. Dans une lettre ouverte, ils expliquent pourquoi.
Rob Harrison quitte son poste de directeur général de DP World à Anvers. À partir du 1er juillet, Dirk Van den Bosch prendra sa place. Il est temps d’accorder une interview d’adieu à l’homme qui n’a jamais mâché ses mots. Pas dans cette interview non plus …
Dirk Van den Bosch est le nouveau CEO de DP World Antwerp Gateway, Empty Depot Services et des autres sites opérationnels en Belgique, à compter du 1er juillet 2020. La société l’a annoncé mercredi après-midi. Rob Harrison est promu.
Rob Harrison quitte son poste de directeur général d’Antwerp Terminal. La procédure de succession est déjà en cours. Ni Rob Harrison lui-même ni DP World ne souhaitent donner plus de détails à ce stade. Mais son départ est confirmé.
Le groupe de travail de l’autorité portuaire d’Anvers s’inquiète d’un éventuel manque d’espace de stockage dans le port en raison de la crise du corail. L’opérateur de terminal DP World a toutefois prévu un plan pour faire face à la situation.
J’ai la chance d’écrire ces lignes, assise dans ma cuisine, avant de prendre un avion ce soir pour l’Afrique du Sud où je passerai Noël. Une telle période nous amène à réfléchir à l’année écoulée et à l’année à venir. Il est facile de penser à tous les « problèmes » et à toutes les questions qui se posent en Belgique et en Flandre, mais en réalité, sur le plan personnel, nous vivons très bien. D’une manière générale, on a l’impression qu’il y a d’abord beaucoup de pessimisme politique et économique. Il y a cependant quelques domaines clés qui m’amènent à penser qu’il est possible d’être optimiste. Outre les sages paroles de Christine Lagarde sur le front macroéconomique, nous constatons toujours une inflation des prix des salaires et, d’une manière générale, une pénurie de main-d’œuvre pour les emplois proposés – ce qui, à mon avis, est toujours un bon signe de robustesse de l’économie. Ce qui m’apporte le plus d’optimisme, cependant, c’est l’émergence de certitudes et les progrès réalisés dans l’intégration de certains éléments structurels clés dans le port.
Le temps, c’est de l’argent. C’est certainement vrai dans le domaine du transport maritime. Le temps qu’un navire passe à quai est un temps précieux. « Tout le monde dans le secteur se rend compte qu’il y a d’importants gains de temps à réaliser dans ce domaine », explique Jan Van Dooren, PDG de Port+. « De nombreuses parties ont une tâche à accomplir entre l’accostage et le départ d’un navire. Nous cherchions des moyens de faciliter l’interaction de tous ces liens. Cela n’est possible que si nous collectons et relions toutes les données relatives aux activités sur et autour du navire. De cette manière, tous les acteurs de l’opération savent quand ils doivent se mettre au travail.