Tendances en matière de conteneurs : la numérisation des opérations logistiques reste un défi

Video, Ports
Koen Dejaeger
Containertrends 2024

La numérisation des opérations terrestres reste un défi majeur pour optimiser la chaîne logistique. Cet aspect a été mis en évidence lors de l’événement Flow Container Trends. Du côté maritime, les nouvelles alliances ont rebattu les cartes, entraînant de nombreux changements.

La communauté maritime s’est réunie à Hof ter Delft le jeudi 17 octobre au soir pour le Flow Event Container Trends. Sur la base d’une présentation de Stefan Verberckmoes, analyste principal de données chez Alphaliner, les participants ont eu un bon aperçu des tendances dans le transport maritime de ligne par conteneurs.

Au cours de cette présentation, les nouvelles alliances et les changements qu’elles entraînent ont été discutés en détail. Lors de la précédente édition de Container Trends, il avait été prédit que de nombreuses compagnies maritimes seraient en difficulté en raison d’une surcapacité de navires. La crise de la mer Rouge a apporté un sursis : toutes les grandes compagnies de transport par conteneurs ont détourné leurs services de la Chine ou de l’Inde vers l’Europe via le cap de Bonne-Espérance. Elles ont donc besoin de 25 à 30 % de navires supplémentaires.

Terminaux intérieurs

Le fait que les compagnies maritimes prennent de plus en plus de participations dans des terminaux intérieurs, comme MSC par l’intermédiaire de Medlog dans le port de Limburg sur l’ancien site de Ford Genk, indique leur importance stratégique croissante. Compte tenu de l’utilisation accrue de la navigation intérieure, des appels sont également lancés en faveur d’une plus grande numérisation. Aujourd’hui, tout le monde semble travailler sur des projets distincts et côte à côte.

Le transitaire, quant à lui, reste éveillé quant à la (numérisation des) processus douaniers, comme l’a révélé une conversation avec Wim Gijbels, président de FORWARD Belgium.

Capacité

Le port d’Anvers est confronté à un manque de capacité. Le projet ECA – un deuxième bassin à marée qui aurait déjà dû être opérationnel – ayant été retardé, Katoen Natie a élaboré un plan. Le Bevrijdingsdok, ancien port d’attache de MSC à Anvers, pourrait à nouveau servir de quai à conteneurs. Cela présente des avantages et des inconvénients : l’espace est disponible et l’accès est bon, mais derrière les écluses, il sera difficile de trouver une grande compagnie maritime qui puisse s’y installer.

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Cet article a été traduit automatiquement du néerlandais vers le français.