PWC - Entreprises durables : complexes mais pleines d'opportunités

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Le développement durable ne peut plus être ignoré dans les conseils d’administration des entreprises. La complexité de la réglementation entraîne de nouveaux maux de tête. De nouveaux risques et défis, mais aussi de nouvelles opportunités, s’accumulent.

Pendant des décennies, les Nations unies ont voulu promouvoir le développement durable au niveau mondial à l’aide de normes consolidées. Les ODD, les fameux « objectifs de développement durable », sont les principes directeurs les plus connus à cet égard. Outre les ODD, qui constituent une incitation importante à développer des connaissances intégrées autour d’un large éventail de questions et de pratiques, il y a également l’accord des Nations unies dans la lutte contre le changement climatique : l’Accord de Paris. Ce traité-cadre crucial, signé par 195 pays, fournit un objectif contraignant pour limiter ensemble le réchauffement climatique. Il a porté les efforts mondiaux à un nouveau niveau, qui a également fourni une nouvelle série de stratégies à mesurer et à rapporter.

L’Union européenne s’est également engagée et, depuis lors, la Commission européenne a lancé le « Green Deal » de l’UE et le paquet « Fit-for-55 » afin de réduire ses émissions nettes de gaz à effet de serre d’au moins 55 % d’ici à 2030. D’ici 2050, l’Union européenne vise la neutralité climatique. De tels objectifs ne sont évidemment pas sans conséquences : l’ensemble de la région est depuis lors soumis à toute une série de nouvelles initiatives réglementaires auxquelles les entreprises doivent également se conformer.

Transport maritime

L’extension du système d’échange de quotas d’émission pour le transport maritime (ETS Maritime) et la correction des émissions de carbone à la frontière extérieure de l’Europe (CBAM) sont des exemples d’obligations ayant un impact. Ces obligations nécessitent un large éventail d’ajustements internes, de modifications des contrats d’échange et de la méthode d’établissement des rapports. Le concept de développement durable va bien au-delà des incidences sur l’environnement et les ressources naturelles au sens strict. Les aspects sociaux et de gouvernance font également partie d’un développement durable solide. L’ESG est donc un cadre qui, à bien des égards, constitue une nouvelle « licence d’exploitation ».

Les entreprises utilisent souvent des normes mesurables pour relever le grand défi de la mise en conformité. Dans ce cas, les indicateurs clés de performance sont utilisés pour influencer le comportement, mais cela peut être contre-intuitif et conduire à d’importantes contradictions. Par exemple, une entreprise peut soutenir le commerce équitable, augmentant ainsi son impact social, mais en même temps augmenter son empreinte carbone par des transports supplémentaires. De telles conséquences sont pernicieuses et soulignent que la mise en œuvre de la durabilité nécessite un changement profond de la culture d’entreprise et non un simple coup commercial. Après tout, cela pourrait être perçu comme de l’écoblanchiment, et c’est un risque.

Rapports

Les risques s’accompagnent également d’opportunités et, dans la lutte contre l’écoblanchiment, des rapports solides offrent la solution. Pour certains, le reporting, tel qu’exigé par la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), est une obligation administrative complexe, mais pour d’autres, il s’agit précisément d’une garantie de transparence. Il conduit à des pratiques commerciales durables et renforce la confiance des clients, des employés et des investisseurs.

La mise en œuvre de la directive sur les rapports d’entreprise sur le développement durable nécessite un processus en deux étapes. Tout d’abord, l’entreprise doit élaborer une stratégie claire et réaliste. Dans un deuxième temps, la mise en œuvre proprement dite nécessite une solide préparation. L’expérience montre que cette mise en œuvre est souvent plus difficile et plus profonde que prévu, mais qu’elle porte ses fruits.

Les défis du développement durable créent une nouvelle dynamique pour toutes les parties prenantes : chaîne d’approvisionnement, logistique, douanes, finances et impôts, services juridiques et trésorerie. Avec la bonne approche – en prêtant attention à l’amélioration des compétences et à la circularité – les rapports ESG débloqueront un grand nombre de nouvelles opportunités pour les entreprises, leurs clients, leurs employés et leurs actionnaires.

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Giovanni Gijsels
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Giovanni Gijsels
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Cet article a été traduit automatiquement du néerlandais vers le français.