Voir aussi la vidéo – Henri Luwaert, business trainee chez MSC Belgium, parle des raisons qui l’ont poussé à se lancer dans la logistique. Dans notre magazine Flows sur la formation et les carrières, nous avons demandé à plusieurs starters pourquoi ils ont commencé une formation ou une carrière dans la logistique.
Parmi les participants aux témoignages figuraient des étudiants (en cours d’emploi), des jeunes diplômés, des stagiaires et un débutant latéral. Il en est ressorti des histoires très diverses et des idées amusantes. Tous étaient d’accord sur un point : le secteur de la logistique est un environnement polyvalent et international qui offre de nombreuses possibilités pour un avenir prometteur. C’est ce que confirme également Henri Luwaert, stagiaire chez MSC Belgium.
Pourquoi avez-vous choisi de vous former à la logistique ?
» En 2016, j’ai commencé mes études en sciences commerciales à Gand, avec une spécialisation en finance et en risques. Durant cette période, j’ai eu l’occasion de faire quelques stages, notamment dans une entreprise de Hong Kong qui transportait des matières premières dans toute l’Asie et, plus tard, chez Vopak, une entreprise qui opère également à Anvers. C’est là que mon intérêt pour les bateaux s’est ravivé. Après mon master à Gand, j’ai opté pour une année supplémentaire de Global Supply Chain Management à l’AMS d’Anvers ».
Quels sont les points forts ?
« La particularité d’un stage est que l’on peut travailler dans huit départements différents en un an. Pour l’instant, j’ai déjà travaillé dans deux services. Le premier était le service de réservation, qui reçoit les demandes de transport. Mon prochain arrêt est le service d’assistance à la clientèle, où nous essayons d’aider et de guider les clients du mieux que nous pouvons pour leurs réservations. Le contact avec les clients est une priorité ici et vous apprenez à résoudre des cas compliqués comme personne d’autre. Le stage conceptuel vous permet d’acquérir une expérience considérable à court terme. Au bout d’un an, vous atterrissez sur votre lieu d’affectation, qui sera pour moi le Business Support & Development ».
Quels sont les défis à relever ?
« Il n’y a pas un jour qui se ressemble dans la chaîne d’approvisionnement, il se passe quelque chose tous les jours. Un jour, c’est une usine qui tombe en panne, le lendemain, c’est l’apparition d’un virus mondial. Chaque jour, il se passe quelque chose de nouveau qu’il faut organiser ou adapter, ce que je trouve très stimulant. La logistique a également un impact important à l’échelle mondiale : aujourd’hui, nous pensons qu’il est normal que des produits arrivent chez nous des quatre coins du monde, mais bien sûr, ils n’arrivent pas là tout seuls. »
Quelle direction souhaitez-vous prendre ?
« Personnellement, je suis très intéressé par le travail orienté vers les projets, en particulier en termes de modernisation et d’actualisation. J’aime lancer de nouveaux projets, par exemple dans le domaine de la qualité des données ou de la durabilité. J’aimerais travailler dans le secteur du transport maritime en m’orientant vers les projets.
Avez-vous un autre message personnel à faire passer ?
« Je ne peux qu’encourager les gens à s’orienter vers la logistique : il y a du travail pour tout le monde et une fois qu’on est mordu, on ne peut plus s’en passer.