Dranaco : la porte d'entrée maritime d'Anvers

Partnercontent, Navigation Intérieure
Buiten verantwoordelijkheid redactie
Terminal van Dranaco

Dranaco négocie et produit entre 2 et 3 millions de tonnes de granulés par an, approvisionnant les marchés belge, néerlandais, luxembourgeois et français. Afin de stimuler le transport multimodal, l’entreprise souhaite désormais ouvrir ses propres terminaux à d’autres entreprises.

La société anversoise Dranaco est spécialisée dans la production, le transport par camion et par bateau et le commerce de tous les types d’agrégats, tels que les sables, les graviers, les pierres concassées calcaires, les pierres concassées porphyriques, les pierres concassées et les agrégats décoratifs. L’entreprise familiale est active dans ces matières premières de base pour la construction depuis 1919. L’entreprise fournit les agrégats nécessaires non seulement aux usines de béton et d’asphalte et aux travaux d’infrastructure, mais aussi aux terrains de sport, aux jardins et aux parcs.

Multimodal est un mot très à la mode aujourd’hui, mais en réalité, cela fait plus de 100 ans que nous le faisons chez Dranaco

Dranaco négocie et produit entre 2 et 3 millions de tonnes de granulats par an, pour approvisionner les marchés belge, néerlandais, luxembourgeois et français. Une partie de ces granulats est distribuée à partir d’un site à Anvers, et ce de manière multimodale. « Multimodal est un mot très à la mode aujourd’hui, mais en fait, cela fait plus de 100 ans que nous le faisons chez Dranaco », explique l’administrateur délégué Anthony De Rop. « Nous continuerons à le faire selon le même principe, mais nous voulons aussi utiliser nos sites pour être encore plus une porte d’entrée sur l’eau pour les entreprises de deuxième et troisième ligne.

« Concrètement, nous voulons aussi ouvrir notre quai à d’autres entreprises », a ajouté M. De Rop. « Ce faisant, nous envisageons explicitement d’autres trafics et d’autres secteurs que les nôtres, afin que davantage d’entreprises puissent trouver leur chemin par la voie d’eau, et Dranaco veut continuer à développer son rôle de soutien en tant qu’entreprise de logistique et de manutention. Si nous voulons vraiment passer à un transport plus multimodal et retirer un grand nombre de camions de la route, il est important que les entreprises soient disposées à ouvrir leurs propres sites et quais. Nous voulons jouer un rôle de premier plan dans ce domaine.

Respect de l’environnement

Ce rôle est tout à fait dans les cordes de Dranaco, qui organise déjà aujourd’hui ses activités de la manière la plus respectueuse possible de l’environnement. « Nous nous engageons à minimiser les émissions de CO2. Grâce au principe du dernier kilomètre, nous fournissons 100 % des matières premières par voie fluviale, qui sont ensuite chargées sur des camions pour le dernier kilomètre. »

« Bien entendu, l’ouverture de son propre quai entraîne de nouvelles questions et de nouveaux défis. Comment préparer un navire à recevoir d’autres marchandises ? Comment s’assurer que les différentes marchandises n’entrent pas en contact les unes avec les autres pendant le stockage et la manutention éventuelle ? « Pour nous, il est donc important de travailler avec des partenaires qui ont l’expérience nécessaire dans ce domaine et avec lesquels nous pouvons développer des collaborations à long terme dans lesquelles chaque partie peut jouer pleinement ses atouts.

Dranaco considère la collaboration avec d’autres entreprises comme un partenariat à long terme. C’est pourquoi l’entreprise prévoit de développer structurellement ses activités multimodales. « Dranaco a été fondée en 1919 à Anvers, où convergent, avec l’Escaut et le canal Albert, deux des voies navigables les plus importantes du Benelux. Nous devons tirer le meilleur parti de cet atout », déclare M. De Rop. L’objectif devrait être de retirer autant de transport que possible de la route et de veiller à ce que ce transport puisse être utilisé de manière optimale selon le principe du dernier kilomètre.

Entreprise familiale anversoise

« Les camions sont nécessaires et le resteront, mais nous devons minimiser la distance sur la piste. Les vélos électriques sont parfaits pour la livraison de colis dans un environnement urbain, mais pour les marchandises en vrac, ce n’est pas une option. En ouvrant des sites à la périphérie de la ville d’Anvers aux entreprises liées à l’eau, nous pouvons répondre encore mieux au transport multimodal », déclare M. De Rop. « Nous sommes fiers d’être une entreprise familiale anversoise, mais nous ne voulons pas nous limiter à nous-mêmes.

« Grâce à sa situation cruciale sur l’Escaut et le canal Albert, Dranaco doit être la porte d’entrée de la ville pour la navigation intérieure. Les aspects économiques et écologiques doivent aller de pair pour l’avenir. Nous devons veiller à ce que les clients ne soient pas victimes d’une politique de durabilité ‘trop chère’ à long terme. Aujourd’hui, par exemple, nous sommes en pleine construction de l’Oosterweel, ce que Dranaco considère comme une opportunité. Pour cela, il est important que Dranaco puisse penser à long terme, en collaboration avec tous les partenaires et parties prenantes impliqués. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons relever et résoudre ensemble ce défi, pour le plus grand bénéfice de tous », conclut De Rop.

Contact :
Dranaco nv
Godefriduskaai 28 bus 18
2000 Antwerpen
+32 (0)3 231 08 54
info@dranaco.be
www.dranaco.be

Cet article a été traduit automatiquement du néerlandais vers le français.